La fécule de pomme de terre, utilisée au ¾ pour l’industrie du papier, pourrait trouver dans les bioplastiques un nouveau débouché. Le procédé de transformation est maintenant avéré et permettrait d’aller dans le sens du développement durable en limitant l’utilisation du pétrole. La loi d’orientation agricole votée en janvier 2006, notamment l’article 47 pourrait porter un coup d’accélérateur à la production de bioplastiques. En effet les usages des plastiques pour lesquels l’incorporation dans celui-ci de matières d’origine végétale est rendue obligatoire et l’Etat fixerait des taux d’incorporation croissants.

Source: http://www.gipt.net/

Cette station de recherche a été créée en 1980  dans le but de produire des nouvelles variétés de pommes de terre dans la région nord. Pour cela, le centre s’est doté d’importants moyens et s’est mis en collaboration avec des industriels. Il a à ce jour obtenu une dizaine de variétés.Les nouvelles recherches portent désormais sur la production de tubercules hors sol.

Source: sites.terre-net.net/comitenordplant/ Creation

Fiche d’information destinée au public publiée par l’INRA (Rennes).

Les plantes génétiquement modifiées dans cette étude expriment le gène de la nitrate reductase du tabac plus un gène marqueur. La nitrate reductase intervient dans les premières étapes de l’assimilation du nitrate par les plante. Cette étude a été réalisée pour voir si la surexploitation de cette enzyme pourrait permettre d’obtenir des plantes absorbant plus efficacement le nitrate.

Les plantes sont étudiées selon leur comportement au champs et selon la composition qualitative de leur tubercules.

Source: www.ogm.gouv.fr/experimentations/essais_implantes/fip2002/FIP_010401_Inra.pdf

Fiche d’information destinée au public publiée par l’INRA (Rennes).

Dans cette fiche il y a tout d’abord description des plantes génétiquement modifiées, puis de la dissémination et de l’évaluation des risques et enfin des mesures de suivi.

Les pdt génétiquement modifiées expriment le gène de la capside du virus LMV, ce qui semble les rendre résistantes au PVY, un virus responsable de fortes pertes de rendement sur la pdt. Cette dissémination a été faite dans un strict but de recherche, avec étude du comportement des plantes vis à vis du virus PVY et de la composition qualitative des tubercules.

Source:www.ogm.gouv.fr/experimentations/essais_implantes/fip2002/FIP_000601_LMV_2002.pdf

Dans la station INRA de Ploudaniel, prés de Rennes, sont conservées et cultivées des milliers de variétés de pommes de terre. Les chercheurs procèdent à des croisements afin d’obtenir des plants résistants aux quatre principaux parasites de la pomme de terre : le mildiou, le virus Y, le nématode et la gale. Les graines obtenus sont cultivées pour vérifier leur aptitudes (insensibilité aux parasites, potentialité de rendement, teneur en sucres…). Au bout de 5 à 6 années, ces nouvelles variétés sont confiées aux quatre créateurs français (Germicopa, Bretagne Nord, Groupement du Centre et du Sud).

Source: http://www.etpatati.com/mods/std/actus

La 1ére édition du concours a eut lieu aux « 4émes journées Internationales Techniques et Commerciales de la Pomme de Terre ». 19 innovations sur les thèmes des techniques de production durable et des Nouvelles Technologies de l’Informations ont été présentées devant un jury de professionnels à Villers Saint Christophe.

Source: http://www.producteursdepommesdeterre.org

L’Institut Technique de la Pomme de Terre, structure commune aux acteurs de la filière qui la financent en grande partie, a été créée dans les années 60 dans un but de qualité, de compétitivité en tenant compte de l’impact environnemental. Depuis 1995, ses missions sont confiées à Arvalis.

Source:http://www.producteursdepommesdeterre.org

L’extraction des protéines de la pomme de terre présente plusieurs avantages : outre le fait de respecter les exigences environnementales en termes d’émissions azotées, ces protéines sont utilisées comme coproduits dans l’alimentation animale et même humaine depuis peu.Une étude réalisée sur plusieurs années a permis d’identifier les éléments qui permettent l’augmentation de ces protéines récupérables. Leur teneur est tout d’abord liée à la teneur en protéines totales et au taux de récupération. Il a été constaté que ces derniers sont largement dépendants de la variété, de la dose d’azote, et de la longueur du cycle végétatif.

Source: Perspectives Agricoles n°320

Le comité technique permanent de la sélection (CTPS) vient de retenir huit nouvelles variétés de pommes de terre. Parmi elles, sept variétés de consommation et une de variété féculière.

Chaque variété est décrite et soumise aux critiques d’Arvalis et du réseau CTPS. Ces critiques sont d’ordre agricole : rendement, résistance aux bioagresseurs ; d’ordre biochimique : taux protéiques…mais aussi d’ordre culinaire : cuisson… et d’ordre gustative. Ces variétés sont très productives et résistantes, mais ont des caractéristiques différentes.

Source: http://www.producteursdepommesdeterre.org/data/arttechVarietePdt.pdf

Les bioagresseurs de la pomme de terre sont très nombreux. L’enjeu actuellement est de pouvoir adapter la pomme de terre à l’agriculture biologique, ce qui n’est pas évident, si on en venait à supprimer les traitements contre le mildiou. Le but du projet est d’établir l’idéotype (génotype idéal) de la pomme de terre. Les expérimentations nécessaires pour cette recherche vont porter sur deux types de culture : pommes de terre de consommation et pommes de terre de variété féculière.

Source: www.inra.fr/Internet/Projets/ciab/idéotypes pdt.pdf